la clinique hantée
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la clinique hantée
Source: "Le livre de l'inexplicable", de Jacques Bergier.
lieux:clinique orthopédique d' Arcachon, France.
Faits: Cette clinique était (en 1972) dirigée par le docteur Cuénot, depuis vingt-cinq ans. Elle est spécialisée dans le traitement des tuberculoses osseuses.
Cette histoire s'est déroulée de mai à septembre 1963.
Les phénomènes: un bombardement de la clinique par des cailloux, des moellons, des fragments de briques, objets dont l'origine n'a pas pu être déterminée. Plus de trois cents de ces objets sont arrivés à toute heure du jour et à la tombée de la nuit. Les malades, allongés sur leurs voitures, semblaient particulièrement visés. Le phénomène était lié à la présence d'une jeune fille de 17 ans, qui sera dans ce récit appelée Jacqueline. Elle-même fut largement lapidée. Sur le plan psychologique et social, il faut signaler que le phénomène fut précédé par l'annonce, le 19 avril 1963, de la vente de la clinique, qui devait fermer le 30 septembre suivant. C'est cette annonce qui parait avoir déclenché des réactions chez... on ne sait pas qui. Les jets de pierre visèrent d'abord une jeune femme, que l'on appellera Angélina. Après son départ de la clinique, et l'arrivée le 16 juin de Jacqueline, les phénomènes s'accentuèrent. Les indications données par le docteur Cuénot dans son livre , "Les Certitudes irrationnelles" (éditions Planète) et dans des publications, notamment la Revue métapsychique, permettent de faire une analyse. Le plus souvent, les pierres tombaient verticalement. Les arrivées obliques furent rares. Elles traversaient le feuillage des trois platanes du parc de la clinique.
Elles avaient une vitesse très faible par rapport à la vitesse qu'elles auraient dû avoir si elles tombaient de cette hauteur. Le maximum de projections par jour fut de 48. La police locale, après plainte le 28 août, paraît avoir considéré le docteur Cuénot comme un fou. L'institut métapsychique par contre envoya pour enquête le professeur Tocquet, dont la contribution est fort intéressante. Aucune fraude ne semble devoir être retenue. Jacqueline, interrogée, se défend d'avoir eu une participation quelconque à cette histoire. L'opinion générale à la clinique fut qu'il s'agissait d'une bande de farceurs dont on n'a jamais su qui ils étaient ni comment ils arrivaient à entrer à la clinique et à en sortir. A partir du 1er septembre 1963, les jets de pierre cessent. Ils sont suivis d'autres phénomènes, et notamment de coups frappés dans des portes ou contre des portes. Celles-ci se mettent à s'ouvrir spontanément. Le 4 septembre, on met des verrous, puis tout s'arrête. Il n'y a évidemment aucune explication définitive. Le docteur Cuénot, avec une grande bonne foi, évoque l'hypothèse rationnelle d'un maniaque armé d'une catapulte, et qui aurait tiré à distance. On n'a jamais retrouvé un tel maniaque, et aucune autre maison à Arcachon n'a reçu de pierres.
Les divers cailloux, moellons et briques ne paraissent pas provenir des bâtiments de la clinique pourtant vétuste, mais d'une autre source. En supposant que cette source : mettons un chantier, se trouve à un kilomètre, on en arrive à l'idée de fragment de brique s'élevant dans l'espace, se promenant dans les airs à une vitesse relativement faible, puis arrivant à la clinique. Tout cela exige un travail considérable contre la gravitation, et il est difficile d'imaginer que le système nerveux d'un ou plusieurs malades ait pu fournir cette énergie sans catastrophe pour le malade. S'il s'agit d'un phénomène paranormal, celui-ci utilise une énergie présente dans la nature, mais dont pour le moment nous n'avons pas idée. Dans l'un des cas, au mois d'août, un malade, agent de police à Paris, et donc, en principe, témoin qualifié et bon observateur, a vu partir l'un des cailloux. Celui-ci sortait d'une chambre ! d'une chambre d'un bâtiment désaffecté de la clinique au 2ème étage. Immédiatement, on se précipita : la chambre était vide et sa porte fermée à clef. Autre incident curieux : un des malades étant abondamment arrosé se mit à hurler : « Assez, est-ce que cet imbécile va s'arrêter ? » Et le phénomène s'arrêta.., pour reprendre une demi-heure après, mais plus timidement. A croire que le phénomène en question était capable d'avoir des réactions...
lieux:clinique orthopédique d' Arcachon, France.
Faits: Cette clinique était (en 1972) dirigée par le docteur Cuénot, depuis vingt-cinq ans. Elle est spécialisée dans le traitement des tuberculoses osseuses.
Cette histoire s'est déroulée de mai à septembre 1963.
Les phénomènes: un bombardement de la clinique par des cailloux, des moellons, des fragments de briques, objets dont l'origine n'a pas pu être déterminée. Plus de trois cents de ces objets sont arrivés à toute heure du jour et à la tombée de la nuit. Les malades, allongés sur leurs voitures, semblaient particulièrement visés. Le phénomène était lié à la présence d'une jeune fille de 17 ans, qui sera dans ce récit appelée Jacqueline. Elle-même fut largement lapidée. Sur le plan psychologique et social, il faut signaler que le phénomène fut précédé par l'annonce, le 19 avril 1963, de la vente de la clinique, qui devait fermer le 30 septembre suivant. C'est cette annonce qui parait avoir déclenché des réactions chez... on ne sait pas qui. Les jets de pierre visèrent d'abord une jeune femme, que l'on appellera Angélina. Après son départ de la clinique, et l'arrivée le 16 juin de Jacqueline, les phénomènes s'accentuèrent. Les indications données par le docteur Cuénot dans son livre , "Les Certitudes irrationnelles" (éditions Planète) et dans des publications, notamment la Revue métapsychique, permettent de faire une analyse. Le plus souvent, les pierres tombaient verticalement. Les arrivées obliques furent rares. Elles traversaient le feuillage des trois platanes du parc de la clinique.
Elles avaient une vitesse très faible par rapport à la vitesse qu'elles auraient dû avoir si elles tombaient de cette hauteur. Le maximum de projections par jour fut de 48. La police locale, après plainte le 28 août, paraît avoir considéré le docteur Cuénot comme un fou. L'institut métapsychique par contre envoya pour enquête le professeur Tocquet, dont la contribution est fort intéressante. Aucune fraude ne semble devoir être retenue. Jacqueline, interrogée, se défend d'avoir eu une participation quelconque à cette histoire. L'opinion générale à la clinique fut qu'il s'agissait d'une bande de farceurs dont on n'a jamais su qui ils étaient ni comment ils arrivaient à entrer à la clinique et à en sortir. A partir du 1er septembre 1963, les jets de pierre cessent. Ils sont suivis d'autres phénomènes, et notamment de coups frappés dans des portes ou contre des portes. Celles-ci se mettent à s'ouvrir spontanément. Le 4 septembre, on met des verrous, puis tout s'arrête. Il n'y a évidemment aucune explication définitive. Le docteur Cuénot, avec une grande bonne foi, évoque l'hypothèse rationnelle d'un maniaque armé d'une catapulte, et qui aurait tiré à distance. On n'a jamais retrouvé un tel maniaque, et aucune autre maison à Arcachon n'a reçu de pierres.
Les divers cailloux, moellons et briques ne paraissent pas provenir des bâtiments de la clinique pourtant vétuste, mais d'une autre source. En supposant que cette source : mettons un chantier, se trouve à un kilomètre, on en arrive à l'idée de fragment de brique s'élevant dans l'espace, se promenant dans les airs à une vitesse relativement faible, puis arrivant à la clinique. Tout cela exige un travail considérable contre la gravitation, et il est difficile d'imaginer que le système nerveux d'un ou plusieurs malades ait pu fournir cette énergie sans catastrophe pour le malade. S'il s'agit d'un phénomène paranormal, celui-ci utilise une énergie présente dans la nature, mais dont pour le moment nous n'avons pas idée. Dans l'un des cas, au mois d'août, un malade, agent de police à Paris, et donc, en principe, témoin qualifié et bon observateur, a vu partir l'un des cailloux. Celui-ci sortait d'une chambre ! d'une chambre d'un bâtiment désaffecté de la clinique au 2ème étage. Immédiatement, on se précipita : la chambre était vide et sa porte fermée à clef. Autre incident curieux : un des malades étant abondamment arrosé se mit à hurler : « Assez, est-ce que cet imbécile va s'arrêter ? » Et le phénomène s'arrêta.., pour reprendre une demi-heure après, mais plus timidement. A croire que le phénomène en question était capable d'avoir des réactions...
tatiana- Admin
- Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009
Re: la clinique hantée
on l 'a pas déjà lu cet article
Gaïa- membre
- Nombre de messages : 3094
Age : 59
Localisation : Toulon
Date d'inscription : 24/01/2009
Re: la clinique hantée
oups;je deviens sénile moi!
tatiana- Admin
- Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009
Re: la clinique hantée
tatiana a écrit:oups;je deviens sénile moi!
dit pas ça hein
remarque on a dépassé les 27ans hein,
Gaïa- membre
- Nombre de messages : 3094
Age : 59
Localisation : Toulon
Date d'inscription : 24/01/2009
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