LA CITE DE L INCONNU DES GAZELLES
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Rechercher
 
 

Résultats par :
 


Rechercher Recherche avancée

Derniers sujets
» Perfect christian dating service. Free married dating online.
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 15:23 par Invité

» Is this new to you?
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeJeu 4 Aoû - 10:02 par Invité

» tramadol and malignant melanoma pain
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeMar 2 Aoû - 17:17 par Invité

» медицина гинеколог
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeMar 2 Aoû - 13:12 par Invité

» Notebook Computers
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeLun 1 Aoû - 17:47 par Invité

» Practically as cheap as files
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeLun 1 Aoû - 12:53 par Invité

» Краски American Accents
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeLun 1 Aoû - 12:05 par Invité

» great time to trade forex currencies with the world economic problems
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeLun 1 Aoû - 9:50 par Invité

» get backlinks backlink service
DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Icon_minitimeLun 1 Aoû - 9:05 par Invité

jeux
Le Deal du moment : -29%
Pack Smartphone Google Pixel 8a 5G 128 Go + Ecouteurs ...
Voir le deal
469 €

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:26

Lakenheath (Royaume-Uni) (13-14 août 1956)

Les bases militaires communes à l'USAF - U.S. Air Force - et à la RAF de Lakenheath et Bentwaters sont situées, la première à quelque 30 km au nord-est de Cambridge, la seconde près de la côte à l'est de cette ville. Les objets aériens inconnus, suivis par leurs radars dans la nuit du 13 au 14 août 1956, ont été jugés 'non identifiés' par le rapport publié en 1969 par la commission Condon chargée d'évaluer les travaux sur les OVNI de l'armée de l'Air américaine (cf. chapitre 9).

Le magazine Astronautics and Aeronautics a publié en septembre 1971 une étude du cas par Thayer, l'expert radar de la commission Condon, qui s'est appuyé en partie sur une étude présentée en 1969 par le professeur Mac Donald, physicien de l'atmosphère. Pour mémoire, signalons qu'à plusieurs reprises, et notamment en 1976, Philippe Klass, rédacteur de la revue Aviation Week and Space Technology, a tenté de critiquer ces travaux et de réduire le cas à une série d'événements ordinaires (météorites, anomalies de propagation radar, etc.). Les incidents ont débuté à la base de Bentwaters, précédés, entre 21 et 22 h, par des observations insolites du radar de contrôle d'approche, que nous ne détaillerons pas. Ils se sont déroulés comme suit:

- A 22 h 55, le radar détecte un objet non identifié se déplaçant d'est en ouest en passant audessus de la base, toujours presque face au vent à la vitesse apparente de 2 000 à 4 000 miles par heure (mph), soit 3 200 à 6 400 km/h. Aucun bang sonique n'est mentionné. Le personnel de la tour de contrôle de Bentwaters dit alors avoir vu une lumière brillante survolant le terrain d'est en ouest "à une vitesse formidable, à environ 1 200 m de hauteur. Au même moment le pilote d'un avion de transport militaire, survolant Bentwaters à 1 200 m d'altitude, déclare qu'une lumière brillante est passée sous son avion en fonçant d'est en ouest "à une vitesse formidable' ' Les deux observations visuelles confortent la détection radar.

- L’opérateur radar de Bentwaters signale ces observations concordantes, radar et visuelles, au chef de quart du centre de contrôle radar de trafic de Lakenheath, un sous-officier américain à qui nous devons un compte rendu assez détaillé de ces observations et de celles qui suivent. Le compte rendu, adressé en 1968 à la commission Condon par le militaire alors en retraite, est cohérent, et ne contredit pas, sauf en quelques points mineurs, les documents du dossier Blue Book de l'USAF ; parmi eux, le télex réglementaire, envoyé à l'équipe Blue Book le jour de l'incident par Lakenheath, et le rapport adressé deux semaines plus tard à cette même équipe par le capitaine américain Holt, officier de renseignement à Bentwaters.

- Le chef de quart de la base de Lakenheath alerte ses opérateurs radar. L’un d'entre eux détecte un objet stationnaire à environ 40 km au sud-ouest de la base, presque dans l'axe de la trajectoire de l'objet supersonique vu à 22 h 55. Le chef de quart appelle le radar d'approche de Lakenheath, qui confirme l'observation. Les radaristes du centre de contrôle du trafic aérien voient soudain l'objet passer immédiatement de l'immobilité à une vitesse de 600 à 950 km/h. Le chef de quart prévient le commandement de la base. L’objet change plusieurs fois de direction, décrivant des segments de droite, variant de 13 à 30 km, séparés par des arrêts brusques de 3 à 6 minutes; la vitesse passe toujours sans transition d'une valeur nulle à une valeur de quelque 950 km/h.

Des observations visuelles sont faites du sol et confirment la vitesse importante et les accélérations stupéfiantes. Le télex réglementaire envoyé par Lakenheath conclut : "Le fait que des accélérations rapides et des arrêts brusques de l'objet aient été détectés par radar et par la vue à partir du sol donne au rapport une crédibilité certaine. On ne croit pas que ces observations puissent avoir une quelconque origine météorologique ou astronomique.'

- Au bout de 30 à 45 minutes, la RAF envoie un chasseur de nuit, un Venom biplace, à la poursuite de l'objet. Le centre de contrôle radar du trafic aérien de Lakenheath le guide en direction de l'objet, à 10 km à l'est du centre. Le pilote acquiert la cible visuellement et au radar, puis la perd. Le centre le dirige alors à 16 km à l'est de Lakenheath ; le pilote acquiert à nouveau une cible et dit "Mes mitrailleuses sont braquées sur lui' Peu de temps après, il perd une fois encore sa cible ; mais celle-ci a été suivie par les opérateurs radar du centre ; ils informent le pilote que l'objet a fait un mouvement rapide pour se placer derrière lui, et le suit à courte distance. Le pilote confirme. Observé par les radaristes, le pilote tente pendant environ 10 minutes toutes les manœuvres pour se placer à nouveau derrière l'objet (montées en chandelle, piqués, virages continus), mais il n'y parvient pas : l'OVNI le suit, à distance constante selon les radars au sol. Enfin, à court de carburant, il retourne \a sa base, demandant qu'on lui dise si l'objet persiste à le suivre. L’OVNI le suit, en effet, sur une courte distance, puis s'immobilise. Les radaristes verront ensuite l'objet effectuer quelques courts déplacements, puis partir en direction du nord à quelque 950 km/h et disparaître à 3h30 hors de la portée des radars.

- Un Venom envoyé en remplacement du premier a dû rentrer rapidement à sa base par suite d'ennuis mécaniques, avant d'avoir pu établir un contact avec l'objet.

Thayer concluait ainsi son article dans la revue Astronautics and Aeronautics : "Si l'on considère la haute crédibilité de l'information et la cohérence et la continuité des comptes rendus, ainsi que leur haut degré « d'étrangeté », ce cas d'OVNI est certainement un des plus troublants connus à ce jour. "

Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS ET LA DEFENSE
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:27

Téhéran (18 au 19 septembre 1976)

Cet incident eut lieu dans la nuit du 18 au 19 septembre 1976. Différents journaux du monde entier le relatèrent plus ou moins fidèlement, par exemple France-Soir dans le numéro daté du 21 septembre. Un citoyen américain engagea des démarches laborieuses auprès des autorités américaines pour en obtenir un compte rendu, en invoquant la loi sur la liberté de l'information. Il l'obtint finalement de la Defence Intelligence Agency (DIA). D'autres documents américains ont depuis lors été obtenus.

Des interviews de généraux et du contrôleur aérien iraniens, impliqués dans cette affaire, permettent de conforter, et un peu de compléter, par la mention des noms propres notamment, le rapport de la DIA. La lecture de l'ensemble conduit au résumé suivant:

- Vers 11h du soir, le 18 septembre, la tour de contrôle de l'aéroport de Téhéran reçoit plusieurs appels signalant un objet lumineux étrange immobile dans le ciel au-dessus du quartier résidentiel de Shemiran, dans la partie nord de la capitale. Le responsable de l'équipe de nuit, Hossain Perouzi, sort pour observer l'objet à la jumelle. Il a témoigné avoir vu un rectangle, correspondant probablement à un objet cylindrique, aux extrémités duquel pulsent des lumières de couleur blanc bleu.

Au milieu de l'objet, une petite lumière rouge décrit un cercle. Perouzi rend compte de cette étrange observation au commandement de l'armée de l'Air impériale, qui alerte le général Youssefi, numéro trois de cette armée. Celui-ci sort sur son balcon et voit un objet analogue à une étoile, mais beaucoup plus grand et plus brillant ; il ordonne l'envoi d'un avion à réaction Phantom F-4 dont il dirige la mission par l'intermédiaire de Perouzi.

- Lorsque le F-4 arrive à 45 km de l'objet, ses instruments de vol et tous ses moyens de communication (radio et interphone) cessent brusquement de fonctionner. Le pilote arrête l'interception et se dirige vers sa base. L’équipage récupère alors l'usage de ses instruments et de ses communications.

Un second F-4 est envoyé par le général Youssefi. L’écho de l'OVNI sur son écran est semblable a celui d'un Boeing 707. Le F-4 s'approche de l'OVNI à une vitesse relative de 280 km/h. Lorsqu’il parvient à 45 km de celui-ci, l'OVNI accélère et se tient à une distance constante de 45 km du F4. L’équipage ne peut discerner visuellement la taille de l'objet, car il brille intensément. Son éclat provient de lumières disposées en rectangle, passant rapidement du bleu au vert, au rouge et à l'orange.

- Soudain, un objet brillant, de diamètre apparent moitié ou tiers de celui de la Lune, sort de l'OVNI et se dirige rapidement vers le F-4. Le pilote tente de tirer un missile Sidewinder sur l'objet, mais à cet instant même son tableau de commande de tir et ses moyens de communication (radio et interphone) deviennent inopérants. Il effectue promptement un virage et un piqué, mais l'objet change de direction et poursuit l'avion à une distance d'environ 6 km. Finalement, l'objet passe à l'intérieur du virage du F-4 et repart pour réintégrer l'OVNI dont il était sorti.

- Peu après, un objet sort à nouveau de l'OVNI et se dirige rapidement vers le sol, à la verticale.

L’équipage du F-4 s'attend à le voir exploser, mais l'objet semble se poser doucement et répand une très vive lumière sur une aire de 2 à 3 km de diamètre. L’équipage, momentanément ébloui, orbite pendant le temps nécessaire pour récupérer sa vision de nuit avant de se poser sur l'aérodrome de Téhéran. Il note la perte de ses communications (radio et interphone) chaque fois que leur avion traverse une certaine zone. Il convient de préciser qu’un avion civil a également perdu ses communications lorsqu'il a traversé cette zone. Dans la journée, l'équipage est conduit en hélicoptère à l'endroit où avait apparemment atterri l'objet, un lac desséché, mais il n'y trouve aucune trace.

Une note annexe de la DIA était tout aussi étonnante que le rapport lui-même; elle précisait que l'information avait été confirmée par d'autres sources, et se terminait par cette appréciation:

'Un rapport remarquable. Ce cas est un classique qui réunit toutes les conditions requises pour une étude valable du phénomène OVNI:

(a) l'objet a été vu par des témoins multiples situés en disent endroits...,

(b) la crédibilité de beaucoup des témoins était grande (un général d'aviation, des équipages qualifiés et des contrôleurs de la Navigation aérienne expérimentés),

(c) les observations visuelles ont été confirmées par radar,

(d) des effets électromagnétiques semblables ont été rapportés par trois équipages distincts,

(e) il y a eu des effets physiologiques sur certains membres de l'équipage (perte de vision de nuit due à la brillance de l'objet),

(f) un degré extraordinaire de manœuvrabilité a été montré par les OVNI

La tentative de banalisation de ce cas faite par Klass en montre la solidité.

Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS ET LA DEFENSE
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:27

Un cas à témoins multiples dans une base de missiles russe (28-29 juillet 1989)

En tête des rapports d'OVNI déclassifiés par le KGB en 1991, figure un dossier relatif à une base de missiles de l'armée, près de Kapustin Yar, dans la région d'Astrakhan, dont il est fait état dans l'ouvrage de Marie Galbraith (cf. chapitre 9. 1). Le public anglophone en a eu connaissance par la revue moscovite AUR,4-Z de mars 1993. Des militaires, appartenant à deux centres de la base, ont fait des dépositions manuscrites sur leurs observations visuelles, réalisées dans de bonnes conditions de visibilité. Le dossier, incomplet, ne traite pas de détections radar éventuelles. Il débute par un bref résumé du cas, dont l'auteur était un officier anonyme du KGB, suivi de la relation de sept témoignages manuscrits :

- Cinq témoignages, provenant du premier centre, sont le fait du lieutenant Mimenko, de deux caporaux et de deux soldats. Dans la nuit du 28 au 29 juillet, ces militaires ont observé des OVNI, entre 22h15 et 23h55, à une distance de 3 à 5 km. jusqu'à trois objets ont été vus simultanément.

Un objet a exécuté, en silence, des déplacements saccadés, avec des départs et des arrêts très brusques, et des périodes d'immobilité. Tous les témoins ont vu un avion de chasse tenter de s'approcher d'un OVNI, et celui-ci s'échapper à une vitesse fulgurante, 'donnant l'impression que l'avion faisait du surplace' Seul le bruit de l'avion a été entendu, alors que l'OVNI devait avoir atteint une vitesse supersonique.

- Deux autres témoignages, émanant d'un centre voisin du premier, concernent l'observation d'un OVNI, de 23h30 à 01h30, à une distance allant de quelques kilomètres à 300 m. Celui-ci a été décrit par le sous-lieutenant Volochine comme un disque de 4-5 m de diamètre, surmonté d'une coupole hémisphérique brillamment éclairée. Le sous-lieutenant a joint à sa déposition un croquis de la soucoupe. Celle-ci se déplaçait parfois brusquement, mais sans bruit, et parfois restait immobile à 20-60 m au-dessus du sol. En compagnie du soldat Tichaev, Volochine l'a vue, émettant une lumière verte phosphorescente, immobile à 300 m d'eux et à quelque 20 m au-dessus d'un dépôt de missiles ; elle a éclaire ce dépôt par un faisceau de lumière mobile pendant quelques secondes.

Dans un rapport, cohérent avec celui de son supérieur, le soldat Tichaev insistait sur l'absence de bruit provoqué par l'objet, même à courte distance, ce qui empêchait de le confondre avec un hélicoptère. Les deux témoins, rejoints après un temps par l'équipe de garde, avaient assisté, durant deux heures, aux évolutions de l'objet au-dessus du centre et de ses abords.

Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:28

Quarouble, dans le nord de la France (10 septembre 1954)

Le 10 septembre 1954 Marius Dewilde est témoin de l'atterrissage d'un vaisseau (et de ses occupants) posé sur la voie ferrée près de sa maison de garde-barrière. Son histoire a défrayé la chronique à l'époque, et plus tard il a raconte son histoire dans un livre: "Ne résistez pas aux extra-terrestres".

Nous sommes vendredi dernier, M. Dewilde lit, dans sa cuisine, son hebdomadaire illustré. Il est environ 22 h 30. Sa femme et ses deux fils 14 ans et 2 ans 1/2 dormaient au premier étage - dans la chambre mansardée. Depuis quelques minutes déjà, M. Dewilde entend le chien aboyer dehors, mais il n'y prête pas attention. Pourtant, excédé par ces aboiements il se lève finalement, prend sa lampe de poche et ouvrant la porte de la cuisine qui donne sur un petit enclos contigu à la ligne de chemin de fer, il crie "Kiki, t'as pas bientôt fini?"

C'est alors que M. Dewilde entend du bruit dans le petit chemin reliant les deux voies ferrées.

Instinctivement, il braque, dans la direction de l'endroit d'où provient le bruit, la lampe de poche. Et dans le faisceau lumineux apparaît un homme - un petit homme qui court en se dirigeant vers la "masse sombre."

C'est un enfant, pense-t-il, mais en regardant mieux, il aperçoit un second homme, derrière l'autre, et il suppose alors que ce sont des fraudeurs, car il croit deviner sur leur dos un lourd fardeau.

C'est alors que la lumière de la lampe éclaire la tête d'un des individus et M. Dewilde s'aperçoit qu'elle est recouverte d'une sorte de scaphandre ou de casque en verre. Il voit aussi que l'homme porte une combinaison très ample...

Et puis brutalement il est aveuglé par une lumière qui le surprend. Quand ses yeux peuvent percer à nouveau l'obscurité, la machine - qu'il avait prise pour un chariot chargé de foin - s'élève verticalement en se balançant sur elle-même, et s'éloigne rapidement au-dessus de la voie ferrée en dégageant une petite flamme par l'arrière sans faire plus de bruit qu'un léger ronronnement.

Là où l'engin s'est posé, Il y a un creux, une sorte de cuvette sur une longueur d'au moins six métres, il y a également des traces sur le travers du ballast et des entailles sur les traverses des rails.

Ce sont des militaires revétus d'une combinaison antiradiations qui s'imposent en tout premier lieu: le locataire, toute sa famille et lui-même ont été soumis à la détection des compteurs Geiger, et cette détection a été effectué aussi sur les animaux et bien sûr sur le terrain.
Résultat de l'opération: "La radioactivite est supportable pour l'être humain et les animaux".

L'endroit où l'engin s'est posé est radioactif !

Plus tard on apprendra que Monsieur Dewilde a été conduit dans un camp militaire qui était , en fait, une ancienne prison civile pour y êtres interrogé de façon très musclée... En effet, il lui a été remis par ses visiteurs nocturnes une boite noire.

En ce jour du 17 octobre 2006, en exclusivité OVNI007 certainement, nous savons que cette boite était vraiment fascinante, métalique et noire de format approximatif 25 cm*15cm*15cm, elle s'ouvrait et se fermait sans charnière, il suffisait de toucher le dessus du couvercle (solidaire d'un seul tenant au reste de la boite) pour que la boite s'ouvre ou se ferme doucement, et de plus à l'intérieur, on pouvait voir de multiples cadrans qui ne ressemblaient en rien de ce que les hommes sont censsés fabriqués. Cette boite dégageait vraiment l'impression qu'elle n'était pas de ce monde. Nous tenons cette information d'une personne très sérieuse qui a bien connue Monsieur Marius Dewilde et qui a vue cette boite et l'a décrite à Monsieur Jérôme Gorriz lors d'une de leurs rencontres, cette personne préfère restait anonyme pour le moment pour des raisons personnelles.

Cette boite doit être restée certainement maintenant entre les mains des militaires qui l'ont interrogés, mais cela nous ne pouvons pas l'affirmer.

Sources: Interwiew d'époque fait par GAUMONT CINEMA - Livre:"Ne résistez pas aux extra-terrestres" de Marius Dewilde - Contact personnel du groupe OVNI007 connaissant personnellement Marius Dewilde et ayant vu lui-même cette boite.
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:29

Valensole, Alpes-de-Haute-Provence (1-, juillet 1965)

Enquête approfondie de la Gendarmerie nationale

Valensole, le 1er juillet 1965, Maurice Masse, qui a quitté son domicile à 5h du matin, se dirige vers ses champs de lavande situés sur le plateau à proximité du village. Avant de mettre en marche son tracteur vers 6 h, il allume une cigarette et entend à ce moment-là un sifflement qui attire son attention. Emergeant de derrière un pierrier, il voit, à environ 90 m de lui, un objet posé dans son champ. Sa forme évoque celle d'une voiture "Dauphine" posée sur six pattes avec un pivot central.

Il se rapproche avec précautions, à une distance d'une dizaine de mètres, pensant peut-être surprendre des gens en train de lui voler de la lavande. Il voit alors deux petits êtres, dont l'un, tourné dans sa direction, va pointer vers lui un tube pris dans une sorte de sacoche accrochée sur son flanc gauche. Maurice Masse précisera qu'il va être totalement immobilisé sur place, engourdi et paralysé, mais parfaitement conscient des événements qui vont se dérouler sous ses yeux. Les deux êtres vont alors remonter dans leur engin. il les observera, alors qu'ils seront derrière une sorte de dôme, et il entendra un bruit sourd au moment u l'objet s'élèvera du sol. De même, il remarquera que le tube qui était sous l'objet, au contact du sol, se mettra à tourner, ainsi que les six pattes, qui s'escamoteront sous l'appareil. L’objet montera ensuite à la verticale avant de s'incliner en oblique et de disparaître plus vite qu'un avion à réaction. Maurice Masse restera ainsi immobilisé durant une quinzaine de minutes avant de retrouver ses esprits, puis de reprendre son travail et d'aller raconter son histoire au village où les gendarmes, ayant eu connaissance de l'affaire, l'auditionneront dans la journée.

La brigade de gendarmerie de Valensole, puis la brigade de recherche de Digne, enquêteront sur ce cas durant plusieurs jours. Les investigations de la gendarmerie établirent l'existence, a l'endroit indiqué par Maurice Masse, d'une cuvette imprimée dans le sol, qui était détrempé à cet endroit.

En son centre se trouvait un trou cylindrique aux parois lisses de 18 cm de diamètre et de 40 cm de profondeur. Au fond de celui-ci se trouvaient trois autres trous coudés de 6 cm de diamètre. Le long de l'axe de fuite de l'objet, sur une centaine de mètres, les plans de lavande étaient desséchés.

Ce phénomène dura plusieurs années, au cours desquelles le témoin essaya vainement de replanter des plants dans un rayon de quelques mètres autour de la trace.

Malgré quelques éléments contradictoires dans le récit de Maurice Masse, les éléments recueillis par les deux brigades de gendarmerie ont confirmé la plausibilité des faits, en particulier les effets sur l'environnement et sur le témoin lui-même, qui, durant plusieurs mois, dormit douze à quinze heures par nuit, à la suite de la paralysie dont il avait été victime. L’enquête de moralité sur le témoin ne révélera pas d'éléments particuliers permettant de soupçonner un comportement de mythomane ou le montage d'un canular.

Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS ET LA DEFENSE
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:30

Cussac, Cantal (29 août 1967)

Enquête du GEPAN / SEPRA

Parmi les cas d'OVNI, l'affaire de Cussac occupe une place particulière puisqu'en 1978 une contre-enquête fut menée, à titre d'exemple, à la demande du conseil scientifique du GEPAN. Le 29 août 1967, vers 10 h 30, par une belle matinée ensoleillée sur les hauts plateaux du centre de la France, deux jeunes enfants gardent le troupeau familial. Le chien qui les accompagne les avertit qu'une vache s'apprête à franchir le muret de l'enclos. Le garçon, âgé de treize ans à l'époque, se lève pour faire revenir la vache, quand il aperçoit de l'autre côté de la route quatre enfants qu'il ne reconnaît pas. Surpris par ce qu'il observe, il appelle sa sœur quand il aperçoit, en retrait des inconnus, une sphère extrêmement brillante. Ils se rendent alors compte qu'il ne s'agit pas d'enfants mais de petits êtres noirs, dont la taille ne doit pas dépasser 1,20 m. Deux d'entre eux sont debout à côté de la sphère, un autre est agenouillé devant elle et le quatrième, debout, tient dans la main une sorte de miroir qui aveugle les enfants. Le garçon essaye de les interpeller, mais les petits êtres regagnent alors précipitamment la sphère. Les enfants les voient s'élever du sol et pénétrer dans la boule par le haut, en y plongeant la tête la première. La sphère décolle avec un sifflement, puis s'élève dans le ciel en décrivant un mouvement hélicoïdal continu à grande vitesse.

Le chien aboie, les vaches se mettent à meugler et une très forte odeur soufrée emplit l'atmosphère.

La contre-enquête débutera en 1978 avec une équipe d'enquêteurs du GEPAN et des membres conseillers extérieurs qualifiés, dont un ancien juge d'instruction.

Les faits marquants de cette contre-enquête ne concernèrent ni les faits, ni le récit, mais des éléments nouveaux, tels que des témoins secondaires retrouvés sur les lieux, qui apportèrent des indices supplémentaires et renforcèrent la crédibilité du cas. En particulier, un gendarme, qui s'était rendu sur les lieux immédiatement après l'incident, avait trouvé des traces sur le sol à l'endroit indiqué par les enfants et noté la très forte odeur de soufre. De même, un autre témoin se manifesta, reconnaissant s'être trouvé dans un grenier proche des lieux, et se souvenant parfaitement du bruit de sifflement très différent de celui d'un hélicoptère de l'époque.

Les reconstitutions sur les lieux, en présence des deux témoins principaux, confirmèrent tant les récits descriptifs que les circonstances qui suivirent l'observation. Les enfants, à l'époque, évoquèrent une forte odeur de soufre, mais ils subirent surtout des troubles de nature physiologique, leurs yeux pleurèrent durant plusieurs jours ; ces faits furent constatés par le médecin de famille et confirmés par leur père, alors maire du village. Le magistrat, dans la conclusion de cette contre-enquête, donna son avis sur les témoins et leur témoignage :

"Il n’existe dans ces divers éléments aucune faille, aucune discordance qui permette de douter de la sincérité des témoignages, ni d’envisager raisonnablement une invention, une supercherie, ou une hallucination. Dans ces conditions, malgré Le jeune âge des témoins principaux, et aussi extraordinaires que paraissent être les faits qu’ils ont relatés, je pense qu’ils les ont réellement observés. "

Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:30

Trans-en-Provence, Var (8 janvier 1981)

Enquête du GEPAN / SEPRA

Trans-en-Provence, le 8 janvier 1981 vers 17 h, un homme qui construit un petit abri pour une pompe a eau, dans son jardin, va être témoin de ce qui est peut-être l'un des cas les plus insolites jamais observés et étudiés en France. Un reflet du soleil sur quelque chose évoluant dans le ciel va attirer son attention et lui permettre d'observer la descente, puis l'atterrissage brutal, sur un terreplein situé en contrebas de sa maison, d'un objet métallique silencieux. Celui-ci, de forme ovoïde, ne présentait aucune aspérité apparente, aile, gouverne ou moteur, permettant de l'assimiler à un quelconque aéronef Cet objet restera quelques brefs instants sur le terre-plein, en démettant toujours aucun bruit, puis il décollera et disparaîtra à une vitesse très élevée dans le ciel bleu azur.

Ce récit pourrait s arrêter à cette simple constatation visuelle, s il y avait eu des traces et des empreintes mécaniques visibles en forme de couronne qui feront basculer l'affaire dans le domaine de l'inexpliqué.

La gendarmerie, puis le GEPAN, mèneront une enquête approfondie, comportant de nombreux entretiens avec le témoin et son voisinage. Les expertises sur le terrain - prélèvements d'échantillons de terre et de végétaux, suivis d'analyses - montreront, sans équivoque, qu’il s'agissait bien d'un objet métallique pesant non identifié qui s'était réellement posé sur le terreplein.

L’analyse des végétaux prélevés sur le site indiquera que l'on n'était pas en présence d'un quelconque aéronef, y compris hélicoptère ou drone militaire, hypothèses qui avaient été envisagées et analysées. La végétation sur le site d'atterrissage - une sorte de luzerne sauvage - a été profondément marquée et affectée par un agent extérieur, qui en a modifié en profondeur l'appareil photosynthétique. En effet, les chlorophylles, ainsi que certains acides aminés des plantes, présentaient des variations importantes de concentration, variations décroissant avec l'éloignement du centre de la trace mécanique. Deux années après, ces mêmes effets disparurent complètement, révélant ainsi un type spécifique et particulier de traumatisme. Selon le professeur Michel Bounias, du laboratoire d’écologie et de toxicologie végétale de l’INRA, qui effectua les analyses, la cause des profondes perturbations enregistrées sur la végétation présente dans cet écosystème, pourrait être vraisemblablement un puissant champ électromagnétique pulsé dans la gamme des hautes fréquences (micro-ondes). Les études et les recherches se poursuivent toujours sur cette affaire où de nombreuses pistes ont été explorées. Aucune d'entre elles n'a pu satisfaire l'ensemble des conditions permettant d'identifier avec certitude l'objet qui s'est posé à Trans-en- Provence le 8 janvier 1981 et encore moins d’en déterminer l'origine.

Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:31

Nancy, Meurthe-et-Moselle, affaire dite de "l'Amarante" (21 octobre 1982)

Enquête du GEPAN / SEPRA

Le cas de "l'Amarante" concerne l'observation, de jour, par un témoin, chercheur en biologie cellulaire, d'un objet qui, durant 20 minutes, est resté en vol stationnaire au-dessus de son jardin.

Le témoignage enregistré par la gendarmerie, moins de 5 heures après l'observation, se résume comme suit:

- Le 21 octobre 1982, après son travail, le témoin se trouvait vers 12h35, dans son jardin, devant sa maison; il vit venir du sud-est un engin volant qu’il prit tout d'abord pour un avion. Il vit un engin brillant. Il précisa qu'il n'y avait pas de nuages, qu'il avait pas le soleil dans les yeux et que la visibilité était excellente. La vitesse de descente de l'engin était pas très grande et il pensa que celui-ci allait passer au-dessus de sa maison. A un moment donné, il se rendit compte que la trajectoire de l'engin le conduisait vers lui, aussi recula-t-il de 3 à 4 m. Cet engin, de forme ovale, s'arrêta à un mètre du sol environ et resta en vol stationnaire à cette hauteur pendant 20 minutes environ.

- Le témoin précisa qu'ayant regardé sa montre, il était absolument certain de la durée du vol stationnaire de l'engin, qu'il décrivit comme suit: forme ovoïde, diamètre d'environ 1 M, épaisseur 80 cm, moitié inférieure d'aspect métallisé, genre béryllium poli, moitié supérieure de couleur bleu-vert lagon dans son remplissage interne. L’engin n'émettait aucun son, ne dégageait ni chaleur, ni froid, ni rayonnement, ni magnétisme, ni électromagnétisme semble-t-il. Au bout de 20 minutes, l'engin s'éleva brusquement à la verticale constante, trajectoire qu'il maintint jusqu'à perte de vue. Le départ de l'engin fut très rapide, comme sous l'effet d'une forte aspiration. Le témoin précisa, enfin, qu'il y avait aucune trace ou marque au sol, l'herbe n'était ni calcinée ni écrasée, mais il remarqua qu'au moment du départ, l'herbe s'était dressée droite pour reprendre ensuite sa position normale.

L’intérêt de cette observation, outre son étrangeté, réside dans les traces visibles laissées sur la végétation et notamment sur un arbuste d'amarante dont les extrémités des feuilles, devenues complètement déshydratées, donnent à penser qu'elles ont été soumises à des champs électriques intenses. Cependant, malgré des délais d'intervention courts, les conditions de prélèvement, puis de conservation des échantillons, n’ont pas permis de vérifier définitivement cette hypothèse. D'une étude préalable sur le comportement des végétaux soumis à des champs électriques il ressort que :

- le champ électrique, vraisemblablement à l'origine du soulèvement des brins d'herbe, a d Au dépasser 30 kV/m,

- les effets observes sur l'amarante sont probablement le fait d'un champ électrique qui, au niveau de la plante, a dû largement dépasser les 200 kV/m.

Source: LE RAPPORT COMETA - LES OVNIS DE LA DEFENSE
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  tatiana Mar 3 Mar - 13:31

France entière et Europe (5 novrembre 1990)

De multiples obsevations ont été faites le 5 novembre 1990 et quelques jours avant et après cette date, un peu plus de 500 témoignages répartis sur 74 département de la France ont été recueillis pendant trois ans d'une enquête effectuée en grande partie par la Banque internationale de données ufologiques, le tout consigné dans le livre OVNI CONTACT.
Il faut noter que les journaux de toutes la France en ont parlé sur le moment.

Une banale rentrée atmosphérique du 3ème étage d'une fusée proton russe de 10 mètre de long maximum et volant à une altitude d'environ 80 km a été annoncé par le SEPRA pour expliquer officiellement toutes ces observations.

Pourtant, les trajectoires des transits étaient très nombreuses et différentes, loin d'être tous dirigés dans le même sens et la même direction.
La vitesse en vol était donnée très différent d'un témoin à l'autre,
certains observateurs ont dit même avoir vu leur(s) ovni en stationnaire aussi !

Des points lumineux très divers, des engins en forme triangulaire, en forme de booumerang, et en forme de saucisse, qui pour certains atteignaient des dimensions comprises entre 100 mètres et au moins 2 kilomètres de long.
Projecteurs très puissants vers le sol et vers le ciel pour certains cas.


Un plan de vol très organisé, un engin tout les 5 ou 10 centigrades en vol, 74 départements ont reçu des témoignages, environ 500 témoignages sur toutes la France, et combien de témoins qui n’ont pas témoignés.

De quelques manière que l’on prenne le problème, il est évident que des objets gigantesques ont survolé le territoire français :
20% des témoins estiment les objets longs de 500 mètres à 1000 mètres !
22% donnent une longueur comprise entre 50 cm à 1 mètre mesuré à bout de bras.

Ces dimensions ne serait-ce qu’à 1 kilomètre du témoin, deviennent impossibles à concevoir si l’objet est 2, 5, 10 ou 100 fois plus loin (fusée à proton environ 10 mètres de long !)
Ainsi tout porte à croire que les vols furent bien observés en très basse altitude !

Seuls 4% des témoins acceptent l’idée d’une altitude supérieure à 5 km !
75% des témoins affirment un éloignement inférieure à 1000 mètres !

La progression de ces engins a été constatée sur des itinéraires parallèles distants de 5 à 25 km en moyenne, basse altitude, les directions étant Ouest/Est avec inflection vers le Sud-Ouest/Nord-est, plus de 2 cas sont signalé Est/Ouest, nord/Sud ou Sud/Nord

La localisation des observateurs ne semble pas résulter du hasard :
Une grande majorité des sites d’observations repose sur des longitudes et des latitudes à calculer en multiples de 5 centigrades (0, 5, 10, 15, 20…)
75% des observateurs sont placés sur des alignements de 2 à 8 sites, tant en latitude qu’en longitude.
Et il y a encore pleins pleins observations irréfutables... tout cela vous pouvez le retrouver dans le livre OVNI CONTACT.

L'explication de la rentrée atmosphérique du 3ème étage de la fusée proton russe semble bien peu convaincant à côté de toutes ces observations. Un point invisible ou tout petit en sorte...

Plus de 400 engins vus à travers toute la France le 5 novembre 1990 entre 18h50 et 19h10 surtout, mais une acivité anormale depuis aussi 3 jours avant et jusqu'à 3 jours après !
Des engins pour certains entre 100m jusqu'à près de 2 kilomètres de long en forme triangulaire ou en forme de saucisse !

Plus de 500 témoignages.

Ce n'est pas la banale rentrée du 3ème étage d'une fusée à proton russe à 19h07 qui peut expliquer toutes ces observations !

Les évidences sont là !
La Banque internationale de données ufologiques ouvre ses dossiers! Nul ne doit plus ignorer cette extraordinaire réalité que les autorités scientifiques françaises ont voulu cacher au monde!

L'opinion publique internationale a été manipulée!

Sources: OVNI CONTACT édité par la Banque internationale de données ufologiques - les coupures de presse sont visibles sur http://perso.numericable.fr/%7Ewolf424/univers.ovni/archives/articles_presse/phenomenes_etendus/rentree_05_11_90.html

Voir aussi:

http://www.ldln.net
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr.htm
http://reguite.free.fr/Extraterrestres/5novembre1990.html
http://perso.numericable.fr/%7Ewolf424/univers.ovni/sepra/culte_5_novembre.html
http://www.rr0.org/1990.html
Un dossier important est aussi dans notre site, voyez http://www.ovni007.com/id91.html
tatiana
tatiana
Admin
Admin

Nombre de messages : 10220
Age : 55
Localisation : Béziers34
Date d'inscription : 12/01/2009

Revenir en haut Aller en bas

DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES Empty Re: DES CAS SOLIDES POUR LES SCEPTIQUES ET LES AUTRES

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum