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Les mystères dans la france

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Les mystères dans la france Empty Les mystères dans la france

Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:31

Les richesses légendaires de certains sites, où abondent encore les vestiges d'un étrange passé, signale des régions privilégiées.

Acquigny dans l'Eure près d'Evreux

Saint Mauxe et saint Vénérand furent mis à mort par les Romains dans le champ qu'on appelle encore le champ des martyres.
On vénéra leur sépulture. En 1724, un miracle s'y produisit.
Une jeune fille paralytique se traîna sous la table de pierre qui se dresse au-dessus des reliques et retrouva l'usage de ses jambes.
Aujourd'hui, un pèlerinage se rend chaque année au champ des Martyres, le lundi de la Trinité.
Une procession précédée par le clergé porte les châsses : sur celles-ci figurent d'énormes têtes.
Les blessés, les malades, les femmes qui attendent un enfant et tous ceux qui ont un vœux à formuler passent et repassent sous les brancards.
Chacun ramasse sept cailloux plats et les emporte chez lui. Il lui porterons bonheur.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:32

Agen : Lot et Garonne

Trésors et manuscrits précieux
Dés le XI éme siècle, les doctrines manichéennes, albigeoises ou cathares, étaient répandues dans l'Agenois, comme dans tout le Languedoc.
Après la proclamation du pape Innocent III, qui fit prêcher une croisade contre les hérétiques, en 1209 l'évêque d'Agen, avec l'appui de Simon de Montfort, commença de lutter contre les adeptes de ces doctrines mystérieuses.
Retirés dans les châteaux fortifiés de l'Agenois, les Cathares, après une héroïque résistance, furent vaincus, torturés et pour la plupart massacrés.
Il est vraisemblable qu'à cette époque des documents et des trésors importants furent cachés dans la région, car beaucoup de ces hérétiques possédaient de grandes richesses et peut être des manuscrits précieux qu'ils avaient découvert en Orient, notamment lors de la deuxième croisade (1147-1149.)
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:33

Gard
Les Bourguignons conservés dans le sel


En 1420, les Bourguignons étaient maîtres de la ville. Le gouverneur Malepue, trahissant les siens, leur avait ouvert les portes.
Mais les troupes royales réussirent à les surprendre et en firent un massacre épouvantable. Il y eut tant de cadavres qu’on craignit une épidémie : On les entassa dans la tour de l’angle du sud- ouest appelée aujourd'hui tour des Bourguignons et on les recouvrit de sel. Ainsi naquit le refrain :


Bourguignons salé,

L’épée au côté,

La barbe au menton,

Saute bourguignon !





Les moines dans les marécages

Jadis Aigues Mortes étaient perdue au milieu des lagunes. Ces remparts baignent maintenant dans l'ancien étang en Psalmody, devenu depuis l’étang de la ville. Psalmody désignait une abbaye bénédictine qui s’élevait à l’emplacement de l’actuel mas du même nom à gauche de la route qui vient de Saint-Laurent et où des moines psalmodièrent à partir de VIIe siècles…
Entre Psamody et Aigues-Mortes on voit une pierre tubulaire, la Tombe du Croisé, dit encore Tombeau des Porcelets, dressée sur un chemin qu’empruntaient les premiers croisés avant d'arriver au port intérieur d'un Aigues-Mortes.

C'est une dalle de molasse longue de 2,30 m et taillée en forme de toit au pans inclinés, elle est ornée des armoiries de la famille des Porcelets attestée au Baux : un porc, sur la tête duquel, figure un objet n'ont identifié. Sur les faces latérales de la pierre, on voit des hachoirs, qu’on longtemps pour des yatagants.



Aiguilles sera détruite



Au XVIIe siècle, trois pasteurs successifs avaient scandalisé leurs ouailles par leur inconduite. Un fidèle pria Dieu de les punir, un ange lui apparut et lui annonça qu'il allait, par trois fois, livrer la ville au feu du ciel. L'homme, prévenu, s’enfuit. À peine avait-il disparu que les flammes célestes réduisirent la ville en cendres. Le prodigue se renouvela encore deux fois. L’ange avait ajouté paraît-t-il, qu'un quatrième cataclysme serait fatal à la cité.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:34

Chamblay (Jura)

Un cheval qui ne ramène pas ses cavaliers.


Le cheval Gauvais y passait, de nuit, et l'on pouvait entendre le bruit caractéristique de son pas ou de son trot. On assurait parfois qu’il n’avait que trois pattes, ou qu'il ressemblait à un bouc. Personne ne l’avait vu, sauf une femme qui lui trouva toute l'apparence d'un cheval ordinaire. Sans méfiance, elle monta sur son dos, mais le coursier fantastique sauta dans la Loue et disparut. La pauvre femme de se remit ni de son bain dans l’eau glacée, ni de sa frayeur, et mourut, dit la légende, quelques jours plus tard.

Certains disaient que le cheval Gauvais voyageait sans harnachement ni licol, d'autres qu'il était monté par un cavalier invisible.

Un habitant de Chamblay voulut le voir de plus près. Il se plaça sur son chemin. Lorsqu'il jugea, au bruit des fers, que le cheval était proche, il s’avança. Il ne vit rien, mais reçut une volée de coups de cravache qui, selon la tradition, le guérit de sa curiosité.


Un homme est devenu loup.


Le classique loup-garou s'appelait ici loup- voirou. On raconte encore qu'un étranger vint s'installer dans le pays, il y a bien longtemps, y prit femme et mena une vie tranquille pendant un an. Après quoi, chargé d’aller sarcler des raves pour la corvée, il laissa par quelques magie sa houe travailler toute seule et, se retirant dans un taillis, se transforma en loup et s'en alla battre la campagne.

Il fut blessé à deux reprises et s’en fut, redevenu homme, se faire soigner par sa femme qui n’y vit que du feu. Quelque temps après, un bûcheron, attaqué par un loup, trancha net, d'un coup de hache, une patte du fauve. Lorsqu'il la ramassa, c'était une main humaine. La femme de l'étranger reconnut la main de son mari, qu'elle ne revit jamais.


Le sabbat interdit.


On raconte aussi, à Chamblay, que les sorciers et les sorcières se donnaient rendez-vous à la côte de la Routière pour mener le sabbat. Les gens du village y assistaient de loin sans oser y approcher. On assurait que le diable présidait à ces réunions, perché sur un acacia. Ceux qui avaient tenté de s'approcher n'allaient pas plus loin que le champ Bourrier, car ils étaient là gratifiés de coliques abominables.

Il rentrait chez eux, et seule la sorcière de Gervans, qui n'allait jamais au sabbat parce qu'elle était brouillée avec les autres sorcières, avait le pouvoir de les guérir.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:34

Abbeville

On ignore pour quelle raison l'église Saint-Vulfran, construite entre 1488 et 1539 est mal orientée. En effet, la façade s'ouvre au Nord et non à l'Ouest.

Le lézard géant dans une église
Un bombardement a détruit en 1940, le célèbre lézard de Saint- Vulfran. Ce saurien empaillé, long de 1,50 m, était probablement un ex-véto. Selon la légende, il rongeait la cire des cierges et buvait l'huile des veilleuses, comme en témoignaient les taches grasses qu'il laissait sur son passage. On disait aussi qu'on l'avait retrouvé un jour sous une dalle de cimetière où il partageait, avec un énorme crapaud, la viande qu'il dérobait à l'étal des bouchers. Le crapaud se gonflait pour soulever les pierres et permettait à son complice d'enter dans les tombes et d'en sortir, durant certaines nuits de l'année.

Le Crotoy

L'assassin transformé en loup

Au XII eme siècle, le comte de Ponthieu fut assassiné par Huges de Camp- d'Avesne, comte de Saint-Pol, qui, après avoir commis de nombreux crimes, aurait été transformé en loup et chargé de chaînes. Condamnée à revenir dans les lieux qu'elle avait désolée, la Bête Canteraine, effraya longtemps par ces hurlement, les paysans de la région.

Ablaincourt

Le talon du Saint

Le grés de Saint-Agnan est une pierre miraculeuse qui fut brisée. On y remarque encore une cupule creusée de main d'homme : c'est l'empreinte du talon de Saint-Agnan, patron d'Ablaincourt. Si on fouillait sous le grés, dit la légende, on découvrirait un trésor.

L'église où l'on apprend à marcher

A quelques centaines de mètres de la pierre, contre un tumulus nommé le Tombeau de Chef, se trouve une ancienne chapelle dédiée a Saint-Georges. Au Moyen-Age, les lépreux y venaient demander leur guérison. Au XIX ème siècle ce pèlerinage était suivi par les malades qui souffraient d'affections épidémiques.
Chaque année, le 23 avril, les mères invoquent Saint-Georges pour qu'il favorise la marche de leurs jeunes enfants : dans cette intention, elles posent les jambes des bébés sur un banc de peirre, dans la chapelle.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:35

Abreschwiller

Une source qui rend les femmes fécondes.
Elle jaillissait dans le grotte de Saint-Léon, la plus grande des Vosges ( 32 m de profondeur ). Elle est aujourd'hui tarie, mais les époux privés d'enfants continuent à la vénérer.

Trésor gardé par les fées

Il est caché sous une roche branlante, au Nonnenberg, ou Montagne des Religieuses. Les fées, au nombre de quatre, sont elles-mêmes vêtues en religieuses.
Elles chantent en allant se baigner à la source de la Princesse, et pleurent en remontant : elles regagnent leur prison souterraine, sous le trésor. Celui-ci apparaît parfois au creux du rocher, sous la forme d'une caisse pleine d'or. Le diable est assis dessus, déguisé en crapaud rouge. Il tient dans sa bouche la clé de la caisse.
Si vous le voyez, il vous suffit de prendre la clé entre vos dents, le trésor vous appartient. Du même coup les fées seront délivrées..
Une croix est gravée sur le rocher : elle conjure les maléfices du diable .


Environs
Le rocher tourne tous les sept ans

On l'appelle la Quenouille. C'est un monolithe de 7 m.
Une dame blanche y apparaît tous les sept ans, qui va laver son linge à la rivière. La pierre, alors, tourne sur elle-même, très vite.
Des fées surgissent, dansent une ronde, s'évanouissent enfin lorsque passe un char tiré par des chevaux qui crachent des flammes.


Un dragon séquestre trois jeunes filles

Il les garde dans une caverne, non loin du Geldfelsen, dans la vallée de la Sarre Rouge. Parfois, elles sortent quelques instants et se baignent dans la rivière.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:35

Ile d’Aix


Des bagnards et des prêtres


Au XVe siècle, on pouvait encore passer à pied sec, à marée basse, le Châtelaillon à Aix. L'occupation humaine de ce qui est devenu une île se marque par un sarcophage, dont les restes, transférés à Rochefort, semblent indiquer qu'il date de l'âge de fer. En des temps récents, l’île, tantôt protestante, tantôt catholique aux XVIe et XVIIe siècles, est devenue un vaste ossuaire, avec les dépouilles des prêtres déportés, des bagnards, ses proscrits, unis dans légalité de la mort.

Le pays du silence.


À peine débarqué, le voyageur se trouve dans un étrange village enclos dans des remparts de Vauban. Nulle auto, nul bruit de moteur ; pas même de poteaux ni de fils électriques, les câbles formant un réseau souterrain. Des rues larges, bordées de maisons basses, donnent à l'agglomération un aspect de comptoir océanien.

Ce pendant une maison est plus haute que les autres, c'est la maison dite de l'Empereur. Il était passé par là en mille huit cent huit, avait voulu qu'on y construisit une résidence pour un gouverneur, et c'est là qu'il revint au début de juillet mille huit cent quinze. La famille Gourgaud a constitué un musée important témoignant d'une grande ferveur. Toutes les pendules sont arrêtés à l’heure de la mort de Napoléon à Sainte-Hélène.

C'est dans cette ambiance singulière qu'il faut voir, dans le jardin, l’arbre que le guide désigne du doigt.

Derrière la maison dite de l'Empereur, le maire avait demandé à Napoléon Ier, en mille huit cent huit, de marquer son passage en greffant un arbre. Cela ne pouvait être une greffe ordinaire avec Napoléon. Un frêne et un ormeau voisinaient : l'Empereur greffa le frêne sur l'ormeau et cet arbre s’est développé. Il est toujours là, vieux d'un siècle et demi.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:36

Cérilly


Une fontaine qui renvoie l’image d’un autre


La fontaine Villejot rappellerait le souvenir d’une ville engloutie. La source jaillirait à l’endroit même ou s'enfonça la chapelle. Pendant la nuit de Noël, si l’on se penche sur l’eau, on entendra le son très lointain de cloches souterraines.

On dit que cette eau reflète les traits de l’être que l’on aime lorsqu'il partage vos ressentiments. Les jeunes filles, pour savoir si leur mariage était proche, lançaient une épingle dans l’eau.

Elles se croyaient assurées de se marier dans l'année si l’épingle se fichait toute droite au fond ; elles disaient qu'elles avaient piqué un cœur.


Une fontaine sur demande


Saint Mayeul fit jaillir la source qui porte son nom le onze mai neuf cent quatre vingt quatorze, sur la demande d’ermites qui se plaignaient d'une trop pénible corvée d’eau. Pendant les périodes de sécheresse, on se rendit longtemps à Fond-Saint -Mayeul. Les assistants devaient, en jetant des cailloux, faire rejaillir sur eux l’eau de la fontaine.

La machine à payer les impôts


La Font du Tonneau nous évoque l'histoire de ce pauvre homme qui, incapable de payer ses impôts au seigneur et ne trouvant pas le courage de vendre sa dernière vache, résolut d'en finir avec la vie. Ayant choisi un bel arbre pour se pendre, il vit venir à lui un petit homme que lui proposa une bouteille en échange de sa vache. A cette bouteille, il suffisait de commander : « Bouteille, fait ton devoir. » Sans doute un peu crédule, le bûcheron accepte. Rentré chez lui il pose la bouteille sur la table et prononce la formule. Apparaissent aussitôt deux valets qui disposent sur la table des couverts d'argent. L’homme les vend, paie son seigneur, laisse entrevoir son or, intrigue le seigneur et, pressé de questions, finit par confesser son histoire.

Sur quoi le seigneur lui rend visite avec sa dame, et les deux valets leur servent un splendide repas dans de la vaisselle d’or. Jaloux, il propose au bûcheron sa liberté et la fortune contre la bouteille. Le bûcheron accepte et dissipe bientôt son argent. Il va trouver alors son ancien maître et lui demande de l’aide. En vain. Il retourne dans la forêt en quête d’une autre bouteille. De fait, il en obtient une. Mais deux gaillards en sortent et le rossent lui et sa femme.

Son fils finit par obtenir la bonne bouteille chez le seigneur. L’aisance revient, avec la sagesse cette fois, dans la chaumière. Le bûcheron ensevelit la mauvaise bouteille dans un grand trou au fond d’un ravin et pose dessus une grosse pierre. Mais aussitôt une belle fontaine jaillit de la roche comme un tonneau. Ce tonneau de pierre a deux trous et l’on disait que le blé se vendrait bien ou mal selon que l’eau jaillissait par l’un ou par l’autre. Quand à la bouteille bienfaisante, elle disparut au bout de trois ans.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:36

LA GIRONDE

Aillas
Des vestiges Wisigothiques

Il semble que la ville tienne son nom du chef Wisigoth Waillas. Il y construisit, dit-on, un château.



Les traces des Templiers

L'église appartint aux Templiers. Quand ils disparurent, elle devint la propriété des chevaliers de Malte. Sur les chapiteaux de la façade, de curieux sculptures évoquent les signes de zodiaque.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:37

Le Mont- Saint-Michel

L’archange et le taureau.


Une miniature du Livre d'Heures de Pierre II, duc de Bretagne représente Saint-Michel triomphant du diable. L’archange est revêtu d'une armure semblable à celle que portaient les chevaliers français au début du XVe siècle ; il est revêtu d'un long manteau blanc doublé de pourpre, ses cheveux blonds son nimbés et son front est marqué d’une croix; de la main droite il brandit une épée ; de la gauche, il tient par l'oreille un diable à tête de taureau et aux griffes rouges. Ses symboles évoquent l'une des traditions légendaires qui se rapportent à la fondation du sanctuaire primitif sur lequel fut édifiée la célèbre abbaye ; selon Dom Jean Huynes, dans son Histoire générale du Mont-Saint-Michel au péril de la mer (1638-1840), Saint Aubert, l’évêque d’Avranches, aurait vu apparaître l’archange, qui, le blâmant de son incrédulité, l’aurait marqué au front « d’un coup de doigt ».

Ayant alors demandé à Saint-Michel où il désirait qu’un oratoire soit édifié, Saint Aubert aurait reçu les indications suivantes : « Il me dit que ce fût au lieu ou je trouverais un taureau lié qu’un larron a dérobé depuis naguère et caché en ce Mont expiant l’occasion de le pouvoir mener au loin pour le vendre... quant à ce qui touche la grandeur de l'oratoire, il m'a dit que se serait tout l'espace que je trouverais foulé aux pieds du taureau. »

Le crâne de Saint Aubert, conservé comme relique à Saint -Gervais d’Avranches, portait, en témoignage la marque miraculeuse du doigt de l'archange, un trou dont l'origine a été expliquée par les archéologues modernes ; il s'agit, en effet, d’une trépanation et le crâne qui a subi cette opération rituelle date non pas du VIIIe siècle, mais de l’époque néolithique.

La victoire sur le taureau évoque probablement le triomphe du christianisme, en ce haut lieu sacré, sur le culte païen du dieu gaulois Tarvos Trigaranos, « le taureau aux trois grues ». Un autel dédié à cette divinité celtique a été découvert en mille sept cent onze sous le chœur d’un autre sanctuaire chrétien, Notre-Dame de Paris.

On peut aussi supposer l'existence d'une crypte anciennement utilisée pour les cérémonies d'initiation aux mystères tauroboliques des adorateurs de Mithra. Dom Leclerq observe que le culte de l'archange au Mont- Tombe, nom primitif du Mont- Saint-Michel, a été inspiré par une consécration analogue, celle du Monte- Gargano, en Italie. Dans les deux cas, un taureau aurait fait connaître le lieu ou l'archange désirait être honoré.


La pierre perdue par Satan


Paganisme et christianisme s'opposèrent longtemps l’un contre l’autre en Normandie. En neuf cent quatre vingt dix sept, un pirate danois, Olaf Truggveson, était encore assez solidement installé sur les côtes occidentales du Cotentin pour donner en dotation à sa femme des ports et des terres, par un acte qui a été conservé.

Les clercs séculiers du Mont- Saint-Michel, trente et un ans auparavant, avaient été exilés dans l'île de Guernesey par Richard de Normandie, fils de Guillaume- Longue- Epée.

Les anciennes chroniques assurent que ces clercs menaient une vie peu édifiante et qu'ils ne voilaient même pas ce que la pudeur exige de cacher : atque ex staminis subtilitate etiam pudenda non protegun. Dans ces conditions, le diable ne pouvait être indifférent ; il volait encore au-dessus de l'abbaye en même temps que Saint-Michel, comme le montre une miniature d'un manuscrit ayant appartenu au duc de Berry et qui appartient aux collections de Chantilly.

Une légende locale assure même que Satan aurait participé à la construction du monastère ; il alla chercher les trois pierres fondamentales de l'édifice dans la forêt de Saint-Sever ; il les mit dans sa double besace, les chargea sur son épaule et prit son vol vers le mont, le long des grèves.

Arrivé dans le canton de Brecey, il constata que son bissac venait de se déchirer ; une des pierres, tombée du sac, avait pénétré profondément dans le sol. C'était la Pilière. Satan s'efforça de la déterrer ; il enfonça ses griffes dans le granit qui porte encore ses empreintes, mais il ne put la mouvoir ; aussi dut-il se contenter des deux pierres qui restaient. C'est pourquoi, ajoute la légende, le monastère n'a jamais été solide ; il ne subsiste que par la grâce divine. Il tremble souvent sur ses bases, quand vient la tempête et que le tonnerre gronde.


Les coquilles noires des pèlerins.


Sur la grève, aux environs du Mont- Saint-Michel, on trouve des coquilles noires ou brunes. Ce sont celles qui figuraient dans les armes anciennes de l'abbaye, en mille quatre cent dix sept : « D'argent à trois coquilles de sable, une crosse d'argent pour cimier. »

Ces coquilles au lieu d'être bombées, sont plates, et munies, à la charnière de chaque valve, d’une seule oreillette, qui permettait de les fixer facilement sur les vêtements des pèlerins.


La terreur du démon.


Le vingt deux décembre mille quatre cent soixante neuf, Louis XI institua l'Ordre de Saint-Michel, dont les membres, gentilshommes de nom et d'armes sans reproche, comptaient, au plus, trente six chevaliers.

Chacun d’eux recevait « un collier d'or fait de coquilles lacées l’une avec l’autre d’un double lacs, assises sur chaînettes ou mailles d'or, au milieu duquel sur un roc il y a une image d'or de Saint-Michel qui viendra pendant sur la poitrine avec la devise immensi tremor oceani et le dicton de Louis onzième.

Pour dompter la terreur des démons et de l’onde,

Qui nous peut plus aider que cet archange au monde ? »

En mille quatre cent soixante dix, Louis XI présida le premier chapitre de l'Ordre, dans la grande salle d'assemblée de l'abbaye, qui a été nommée, depuis cette époque, la salle des Chevaliers. Les pièces des armoiries de l'abbaye devinrent alors « d'argent chargé de coquilles de sable sans nombre au chef de France ancien ; une crosse d'argent pour cimier. »


Le diable en mer.


Les chroniqueurs de l’abbaye ont conservé le souvenir d'un animal trouvé sur les grèves et qu’ils décrivent en ces termes : « Sa tête était large et beaucoup plus grosse que le corps ; sa gueule s’ouvrant d'un pied de haut, présentait des dents aiguës et rangées comme celle du requin ; le milieu de son palais était hérissé de pointes très piquantes ; sous son collet de droite et de gauche, sortaient deux mains et deux pieds de dessous son ventre et lui servaient de nageoires ; il portait le long de son dos trois petits mâts mobiles de la grosseur d'un tuyau de blé.

Chacun de ces mâts était orné à la pointe d'une sorte de guidon carré, d'une peau blanchâtre, mince et transparente et de six lignes de long sur trois de large. »

Le corps de ce poisson était blanchâtre et sa queue se terminait en pointe comme celle des morues. Le peuple, ne sachant quel nom lui donner, l'appelait diable de mer. Un érudit local M. Étienne Dupont, ayant entrepris une enquête à ce sujet, apprit d'un savant zoologiste que cet animal fantastique existait réellement dans la baie du Mont Saint-Michel ; il s'agit de la beaudroie pêcheuse (lophius piscatorius).

Les poissonniers la rendent méconnaissable en la décapitant, en la vidant et en la dépouillant, ils la vendent parfois sous le nom de lotte.


Les merveilles de la foudre.


Les magnifiques bâtiments du nord de l’abbaye, appelés dès leur origine la Merveille, furent construits, de mille deux cent trois à mille deux cent vingt huit, d’un seul jet, selon un plan bien déterminé et suivi exactement dans les moindres détails, grâce aux sommes considérables envoyées par Philippe-Auguste à l'abbé Jourdain, dix-septième abbé du Mont Saint-Michel.

Les successeurs de celui-ci continuèrent les travaux, qui furent interrompus en juillet mille trois cent par un incendie ; la foudre, en tombant sur le clocher de l'église, la ruina entièrement ; les cloches furent fondues ; les toits des bâtiments incendiés. Les flammes poussées par un vent violent, consumèrent presque entièrement la ville.

Ce désastre, survenue après ceux de mille cent trente huit et de mille deux cent trois, fut un des plus considérables de l'histoire de l'abbaye ; en mille trois cent cinquante, la foudre tomba de nouveau sur l’église. Un autre incendie arriva en mille cinq cent soixante quatre et un orage, en mille cinq cent quatre vingt quatorze, dévasta encore le monastère. Au total en mille sept cent soixante seize, le Mont- Saint-Michel avait connu depuis sa fondation, douze incendies causés par la foudre.

L’un des mystères de ce haut lieu n'est-il pas l’improbable survie de la Merveille, qui, malgré ces multiples attaques infernales, semble avoir été miraculeusement protégée par l’archange Saint-Michel ?
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:37

L'Ariège

Aigues-Juntes
Les fées ont enseigné l’art de forger
Elles se réunissent dans les grottes qui sont creusées au pied du Plantaurel, les cheveux ornés de peigne d’or.



Qui envoya sur le rocher l’orage qui la brisé ?
C'est à la sortie du village, à 300 mètres de la dernière maison, appelée la Maison de Thomas, au lieu-dit le Couvent. Un rocher s'y dressait. Un chaud jour d'été, des bergers y avaient conduit leurs troupeaux. Un inconnu passa, qui leur conseilla de rentrer au plus vite : un violent orage allait éclater. L'homme disparut dans une grotte voisine. L'orages fut si violent que la roche se morcela. C'est aujourd'hui un chaos de petites pierres calcaires détachées du Plantaurel, dernier contrefort des Pyrénées. On l'appelle le Roco Trincado « la roche brisée »
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:38

LA SAVOIE




Aiguebelette-Le-Lac
En 1480, la montagne d’Aiguebelette, qui servait de limite entre le diocèse de Grenoble et celui de Bellay, était nommée la Guilleberie, forme dérivée d’une désignation archaïque : la Kebelle. Il s’agit peut être d’un ancien lieu sacré, voué à l’antique déesse de la Terre. En effet la tradition rapporte qu’autrefois s'élevait sur l'emplacement du lac une ville opulente et magnifique. Un soir, un mendiant attiré par le bruits des festins s'approcha des palais : on le chassa brutalement. Cependant une vieille femme qui habitait une maison située aux environs de la cité lui donna l'hospitalité. Le lendemain, la vieille, en ouvrant ses fenêtres, découvrit qu'une vaste inondation avait submergé toute la ville. Le lit du mendiant était vide ; au loin, une haute silhouette sombre, qui ressemblait à celle de l'inconnu, semblait marcher sur les flots. Les deux îles qui subsistent encore seraient les seuls vestiges de la ville engloutie.




Aime
Le genou de Saint-Jacques



A l'entrée d’Aime, l'escalier taillé dans le roc qui monte à la chapelle de Saint-Sigismond aurait porté l'empreinte du genou de Saint-Jacques. Celui-ci ayant fait un faux pas, la pierre serait devenue molle afin de ne pas le blesser.

Environs La marmite de Gargantua

Derrière Aime, en plein massif montagneux, on voit, comme un signal gigantesque à la limite du Beaufortain. La Pierra Menta 2711 mètres et, non loin, le sommet de Gargan 2762 mètres. Tenace est la légende selon laquelle Gargantua, s’étant frayé un passage au col des Avaris (limite de la Haute-Savoie) aurait de là ou d'un point plus proche, lancé et fiché la Pierra Manta. On atteint aussi, et par des pentes moins raides, la Pierra Manta depuis Beaufort

Un de nos correspondants a fait, à notre intention, l'ascension du mont Gargan, sis sur le territoire de la côte d'Aime ( canton d'Aime) . Il est invisible de la route de la Tarentaise. À mi-chemin, notre correspondant a observer une grande excavation ou dépression de terrain, et les paysans auxquels il en a parlé lui ont dit que, dans l'appellation courante, c'était la Marmite du Géant. Le sommet de Gargan est, à la différence des cimes voisines et parfois plus hautes, tout arrondi, comme beaucoup de monts et éminences qui passent pour de vastes tumulus et tombes de géants. Ce sommet, à la différence encore de ses voisins, est fait de pierres friables qui peuvent donner l'impression d'un entassement fait de main d'homme.


Aix-Les-Bains.

Une piscine romaine


On a retrouvé, dans le sous-sol avoisinant les sources, lors de l'érection des thermes modernes, de très importants vestiges de bains romains installés à Aix (Aquae Gratianae). Les thermes antiques étaient placés sous la vocation du dieu des eaux chaudes : Borvo.

Dans les piscines réservées aux femmes ont honorait Diane. Le temple de Diane abrite aujourd'hui le musée. Les piscines étaient aménagées en bains de vapeur, bains d’eau chaude, et d’eau froide.

Une piscine, dite bain de César, particulièrement vaste et luxueuse, était établie au-dessus d'une salle de chauffe



Environs


Un palais de rêve



Mont du Chat : le dominicain Étienne de Bourbon, mort à Lyon vers mille deux cent soixante sept, dit avoir entendu parler d’un « certain paysan près du mont du Chat », qui portait son fagot au clair de lune lorsqu'il aperçut tout à coup une multitude de gens à pied et à cheval. Comme il demandait à l'un d’eux qui ils étaient, il reçut cette réponse : De la famille du roi Arthur.

Le rustre, invité à les accompagner, pénétra dans un magnifique palais où il vit guerriers et dames qui jouaient, dansaient, mangeaient et buvaient. Il s'approche d'un lit où est étendue une dame merveilleusement belle, mais il se réveille, joué et honteux, sur son fagot.

L'envol de la bergère



A l'entrée du chemin Aix-les-Bains à Tresserve, tous près du hameau de Cornin, se trouve une carrière de molasse, dans les flancs d’un rocher qui surplombe le chemin. Cet endroit est connu sous le nom du Saut de la Pucelle. Une légende de s'y attache.

Une jeune fille, nommée Brigitte, avait inspiré une passion violente à un gentilhomme du voisinage. Vertueuse autant que belle, Brigitte repoussait les tentatives de son adorateur et dédaignait ses brillantes promesses.

Mais un jour qu'elle avait mené paître ses brebis, sur le plateau couronnant le rocher que nous venons de décrire, le galant la surprit, et allait sans doute triompher de sa résistance, lorsque, parvenant à s’échapper des bras qui l’étreignaient, Brigitte après avoir adressé une fervente invocation à la fin à la sainte Vierge s’élança dans l'espace et disparut dans le précipice.

Une heure plus tard, les bateliers de Cornin, regagnant lors leur demeure trouvèrent la bergère agenouillée au fond de la carrière. La Vierge l’avait sauvée des bras d’un ravisseur et de ceux de la mort. Elle l’avait soutenue dans sa chute et déposée doucement au pied du rocher.


Un château échangé contre un homme



Le hameau de Cornin, situé sur le bord du lac du Bourget, possède une légende bien connue, celle de la Maison du diable : un villageois enviant une demeure somptueuse, eut la visite, un soir à minuit, du diable en personne, qui lui dit : « Tu veux un manoir splendide où tu serais entouré de luxe et de richesses. Eh bien, je t'en bâtirai un, mais en échange tu me donneras ton âme, c'est le prix que je mets à notre traité. » L'homme accepta. Ses espérances furent comblées, mais aussi il paya la rançon de son traité. La maison, située au sommet d'un coteau verdoyant, s'appela par la suite la maison de Bellevue.


Chambéry.
Un Chat ou des écrevisses ?


La fondation de la ville a été attribuée par certains historiens tantôt à un chat tantôt à des écrevisses. Jean Régnier, recteur des écoles de Chambéry au XVIe siècle, et Jacques Delex, jurisconsulte, assurent qu'un chat énorme dévorait les voyageurs au passages du mont Muni. Un jour, il tomba sur une proie bien armée, un certain Berius qui se rendait en Italie après avoir été l’un des compagnons du roi Artus. D’un coup d’épée, ce chevalier trancha la tête du chat.
Comme il se reposait après son exploit ; il contempla le paysage et fut émerveillé par la beauté de la vaste plaine qui s'étendait devant lui. Aussi décida-t-il d'y fonder une ville et d’y laisser son souvenir en la nommant Campus Berii, d’ou Chambéry.
Le P. Jacques Fodéré dans son Histoire des couvents de l’ordre de Saint-François (mille six cent dix neuf), n'est pas sensible à cette étymologie héroïque. Il semble préférer au caractère un peu diabolique de ce chat et à ce fondateur brutal, des influences bénignes, c’elle d’un savoyard, Chambéro, et de l'écrevisse qui porte encore ce nom. Le P. Fodéré donne une preuve terrifiante de son hypothèse étymologie. Quand on, enterre quelqu'un dans l'église Saint-François (aujourd'hui la cathédrale), « la fosse n'est pas sitôt faite qu'elle se trouve presque pleine d'eau claire avec une fourmilière de grosses écrevisses ».

Depuis la révélation de P. Fodéré, on se contente d’apprendre aux enfants que la forme originelle Cambariacum désignait le domaine d'un certain Cambarius gentilice attesté par trois inscriptions de Nîmes.
Cette prudente explication (qui évite de mentionner l’effroyable sort de tant d’ancêtres inhumés à Saint-François) n'arrange rien, malgré de rassurantes apparences. En effet le nom de Cambarius, provient lui-même de Cammarus et il a donné, en italien, le mot gambéro, qui désigne encore l’écrevisse.


L'église de la Croix-qui -tourne.


Immédiatement au-dessus des casernes, sur une esplanade qui domine le rocher du Bâtonnet, se trouvait l'ancienne église de Sainte-Marie l’Egyptienne. Elle contenait douze chapelles affectées aux caveaux de douze familles nobles de Chambéry. Des vestiges de ces chapelles sont visibles.
Au-dessus du rocher du Bâtonnet une croix avait été érigée par un moine qui mourut à Lyon en odeur de sainteté. Au moment où il expira, la branche transversale de la croix qui était dirigée vers le nord, tourna d'elle-même vers l'ouest, juste dans la direction de Lyon.

Le saint suaire et les ducs de Savoie.


En mille cinq cent seize, François Ier, ayant fait le voeux d'un pèlerinage au saint suaire, vint à pied de Lyon à Chambéry où la relique, avant d'être transférée à Turin en mille cinq cent soixante, se trouvait dans la Sainte-Chapelle du château des princes de Savoie.
Ceux-ci la considéraient comme un palladium et, depuis mille quatre cent cinquante trois, elle constituait une part capitale du trésor de leur couronne. On doit rappeler que la l’invention du saint, c'est-à-dire la découverte, appartient à un Français, un gentilhomme champenois. Godefroy de Charny, lequel apporta d'Orient le linceul sacré qui servit à envelopper le corps du Christ dans le tombeau.

Environs.


Où l'on retrouve Saint Saturnin.


À quelques kilomètres de Chambéry, près de Lémene, on peut voir encore une chapelle qui se trouve dans le défilé nommé le Pas-de-Saint-Saturnin. On y a découvert un sanctuaire néolithique considérable. Cette chapelle aurait été construite des matériaux d'un temple romain dédié à Saturne. On pourra rapprocher ces faits des indications données à propos de l'origine de Fontainebleau. C'est aussi en ce lieu qu’au Moyen Age, on dressait les fourches patibulaires destinées au supplice des sujets condamnés par les seigneurs de l'antique fief de la Croix.
Situé au milieu du défilé, le sanctuaire est adossé à une roche en surplomb et forme ainsi une grotte, juste à côté d’une source. L'entrée de la chapelle est fermée par un porche qu’encadrent deux colonnes et sur le fronton duquel on peut lires ces vers :
Fidèle de tout âge, infirme ou pèlerin.

Recours avec confiance au grand saint Saturnin.

Conduit dans ce saint lieu par la divine flamme.

On obtient guérison et du corps et de l’âme.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:39

Le Gard



Bagnoles-Sur Cèze

Le dragon est resté dans le puit.

La ville posséda au Moyen Age son dragon, un coulobre à sept têtes et sept queues. Il vivait au fond d’un puit que le seigneur de Marensan fit combler pour mettre fin à ses exploits. Le monstre figura dans les armoiries de cette famille.


Environs


Plateau calcaire riche en vestiges gallo-romains


Le camp de César est devenu un nid à légendes. La Chèvre d’Or y a son antre et les paysans disaient que le vingt quatre juin, à minuit, s’ouvrait là une grotte découvrant d’étincelants trésors et d’où la chèvre sortait en galopant. Vestige du culte solaire (harpocratien) : le soleil jaillissait, resplendissant du cœur de la terre.

Une chapelle miraculeuse


La chapelle Saint- Jean, en ruine, était l’objet d’une vénération particulière : on y soignait les enfants malades de la teigne ;ils changeaient de vêtements, et s’en allaient sans se retourner. Saint-Jean y était nommé le Rousigo, c’est à dire le rongé.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:39

Lille.


La Motte Madame.


La basilique Notre-Dame- de- la- Treille , en faux gothique inachevée depuis mille huit cent cinquante quatre, est construite sur la motte Madame, emplacement légendaire du château du Buc qui serait à l'origine de la ville.

Le lundi parjuré.


Premier lundi après l’Epiphanie : les rois mages avaient promis à Hérode de revenir, mais ils ne tinrent pas parole. Le lundi parjuré est le jour où l'on échange des voeux.

Ducasses et braderies.


Chaque quartier a sa ducasse, c'est-à-dire la fête de la dédicace de la paroisse à son saint patron. Les ducasses ont lieu le dimanche, depuis Pâques jusqu'au dernier dimanche d’août.
Le premier lundi de septembre a lieu la Grande Braderie (brader signifie « solder, vendre à bas prix) » : c'est une foire franche qui attire les chiffonniers, les petits commerçants, les forains et même les particuliers qui se débarrassent ce jour-là, à vil prix, d’objets inutiles. C'est une foire aux occasions assez pittoresque.

Signalons également le marché aux puces de Wazemes quartier populaire de Lille, qui a lieu tous les dimanches autour de l'église Saint-Pierre- Saint-Paul (en venant de la place de la République , prendre la rue Gambetta).


Grande Kermesse et géants du Nord.


La grande kermesse a lieu le dimanche et le lundi de la Pentecôte. C'est un souvenir de la Grande Procession de mille deux cent soixante dix. Son principal intérêt est son défilé de géants : ceux de Lille, Lydéric et Phynaert, « fondateurs » de la ville, mais aussi d'autres géants des Flandres française et de Belgique, accompagnés de groupements folkloriques aux costumes originaux (Gilles, par exemple), de fanfares dont chacune joue sont propre motif. C'est sans doute le véritable carnaval populaire de France.

Les jeux du Nord.


Les Flandres sont la région qui a sans doute conservé la plus grande variété de jeux locaux et originaux. Les marionnettes typiques des Flandres ont aujourd'hui disparu ; très voisines des marionnettes siciliennes, elles offraient des spectacles savoureux, en patois, sur des thèmes éprouvés (Geste de Charlemagne mais aussi tragédies classiques françaises adaptées au goût populaire) : ces réjouissances avaient lieu dans les « cours » situées au milieu des pâtés de maison ; la plupart de ces cours ne sont plus connues que par le P’tit Quinquin, d’ Henry Desrousseaux, où la mère berce son enfant en lui promettant de le conduire voir les marionnettes dans la « cour Jeannette- à- Vaques » (Jeannette -à- Vaches).
Les combats de coqs se livraient aussi dans les cours ; ces jeux sanguinaires sont aujourd'hui interdits, mais on assure que des combats clandestins ont encore lieu dans les caves où les arrière-cours de certains estaminets.

Chaque estaminet reçoit son groupement d'éleveurs de chiens policiers ( la douane et

« la fraude » en font une égale consommation), de tireurs à l'arc, de colombophiles, de pinchonneux ( pigeons aveugles auxquels on apprend à chanter) et de joueurs de boules.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:39

Aire- Sur-La- Lys


Un pèlerinage à la vierge nourricière.


La dernière guerre a endommagé la collégiale Saint-Pierre. Jusque-là, on pouvait voir, dans l'abside, une statue miraculeuse de Notre-Dame Panetière. Chaque année, au mois d’août, celle-ci était l'objet d'un pèlerinage célèbre : en une procession insolite, les paysans des environs apporteraient en offrande des objets faits de paille et d’épis de blé. Une statue presque semblable remplace aujourd'hui la première.

Le pèlerinage remonte à l'année mille deux cent treize. Ferrand, comte de Flandre, assiégeait la ville. La famine menaçait. Les habitants, après des prières à la Vierge, tentèrent une sortie. Ils repoussèrent les Flamands. Un convoi de vivres, envoyé par Philippe Auguste, put enfin entrer dans la ville. Une confrérie fut fondée, qui, chaque année aux fêtes de la Vierge, distribuait des repas aux indigents. Le pèlerinage pris son nom actuel.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:40

LES BASSES PYRENEES




Ahetz

Le roi Salomon passe, la nuit, dans la forêt, suivi de sa meute, parcourant le monde jusqu'à la fin des temps. Il y fut condamné pour avoir un jour quitté la messe au moment de l'élévation.



Environs
Un fantôme à la fenêtre


La maison Anténéa se dresse sur la colline au-dessus de l'emplacement où poussait, avant sa construction, un chêne aux formes fantastiques. Un homme s’y pendit. L'arbre fut abattu. La maison, longtemps inhabitée, était naguère hantée. Le fantôme d’un mauvais prête y apparaissait les nuits de lune. Il s’appuyait à la fenêtre et conviait au sabbat les sorciers et les démons.
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:40

Aix en Provence

La cité disparue


Le premier Aix fut Entremont. La cité d’Entremont fut ruinée par l'intervention romaine qui favorisait Marseille ; Aix aquae Sextiae naquit en cent vint cinq après Jésus-Christ.

On célébrait le dieu Mithra

Outre les dieux classiques : Jupiter, Mercure, Diane, Hercule, Cybèle, Artémis à la triple mamelle, on réunirait alors des divinités propres à la religion : les Matres ou Déesses mères,

Barmonus, dieu des sources et des guérisons, Belenus, dieu soleil.Culte plus surprenant encore : celui du dieu oriental Mithra, dont saint Mitre paraît être un vestige christianisé.

Saint Mitre est le patron de la cité. C'était, selon la légende, un jeune Thessalonicien employé comme domestique dans une maison de la ville, chez le prêteur Aventus, connu pour sa vie déréglée. Mitre exhortait son maître à plus de pudeur. Exaspéré, Aventus fit vendanger une de ses vignes, à l’actuel lieu-dit Saint Mitre, et accusa Mitre d'en avoir volé le raisin. Mitre fit un miracle : les raisins repoussèrent. Il n'en fut pas moins décapité. Il transporta sa tête, dit-on, jusqu'à la cathédrale d’Aix, devenue Notre- Dame- de-la Sedes. Notre-Dame de –la-Sedes a disparu. Ce fut la première église d'Aix et le chef-lieu ( latin sedes : siège ) du diocèse. Le nom de Notre-Dame de-la- Sedes fut donné pour la première fois à une Vierge noire. Aix en possède encore deux. L’une, Notre- Dame-de- Grâce, à l’église de la Madeleine ; l’autre, Notre- Dame-de- l’Espérance, à la cathédrale Saint- Sauveur. La première vint d'Italie, apportée par saint Bonaventure. La seconde, en pierre, est accompagnée d'un chien couché à ses pieds, qui figure le démon. La tradition affirme qu'il s'agit d'une copie, faite en mille cinq cent vingt et un, de Notre-Dame -de- la -Sedes.

Un étrange tableau

On peut le voir dans l'église de la Madeleine. Anonyme, il date XVe siècle, et représente l'Annonciation. Une analyse détaillée y décèle des détails d'une inspiration blasphématoire et diabolique. À ce propos, Émile Henriot écrit : « Il court sur cet ouvrage une légende qui intrigue. D’aucuns y voient le maléfice comme si l'artiste l'avait peint à rebours. On dit qu'ayant à se venger du donataire qui le lui commanda à un prix inférieur au prix promis, il y mit un certain diabolisme : l'expression des figures est étrange pour un tableau de sainteté ; les ailes de l'ange annonciateur sont en plumes de chouette, oiseau de malheur, le geste du seigneur bénissant n'est pas liturgique, et ce pouce ramené entre l'annulaire et le médius à quelque chose d’obscène. Le rayon lumineux qui en part, avant d'atteindre la Vierge, passe sur la tête d'un singe au coin d'une corniche. On voit voler des chauves-souris entre les piliers. Enfin les fleurs qui sont réunies dans un vase, à côté de Marie, passaient pour maléfiques au Moyen Age : ce sont des digitales, de la belladone et du basilic. »

Un fête licencieuse le lundi de Pâques

Elle se donnait au XVIIe siècle, dans le faubourg de Saint- Jean- de- Malte, au Pré- Batailler. Les Etats du Diocèse rapportent que « les chefs d'une espèce de confrérie faisaient battre la caisse, au bruit de laquelle tout ce qu'il y a de corrompu de l’un et l'autre sexe dans le bas peuple de la ville et du faubourg s’assemble au Pré et y danse et y folâtre souvent très indécemment depuis midi jusqu'à la nuit »

La fête de la bravade

Elle remonte beaucoup plus loin. Elle avait lieu jadis la veille de la Saint-Jean, depuis mille deux cent cinquante six, époque où Charles d’Anjou, comte de Provence, revint de la Terre sainte. On attachait un perroquet dans un champ. Celui qui l’abattait était proclamé roi de la fête, et nommait les officiers qui commandaient trois compagnies de mousquetaires. Le cortège se rendait sur la place ; le Parlement venait en grande pompe allumer le feu de la Saint-Jean.

La Fête Dieu

C’est la plus typiquement aixoise. Le cérémonial en fut, dit-on, réglé par le roi René en mille quatre cent soixante deux. Une procession ouvrait la fête, constituée par le guet à pied et à cheval et les chevaliers du Croissant. Puis venait la croix, suivie par Moïse, les Israélites et le Veau d'or qui jouaient entre eux une sorte de mimodrame : par des signes répétés, Moïse invite les Israélites à le suivre ; ceux-ci, en signe de mépris, se tournent vers l'idole puis lancent en l'air un chat qu’ils rattrapent avec adresse : c'est le jeu du chat.

Une troupe figure les lépreux ou Raz cassetorts. Puis vient la reine de Saba, suivie de la troupe des Diables, et le groupe de la Belle Etoile, comprenant les rois mages. Les danseurs, les petit Diables, Hérode, les enfants qui figurent les Innocents, les chevaux fringants ou chevaux fous, les Apôtres, le Christ portant sa croix, saint Christophe représenté par un mannequin géant, marchant à leur suite. Un défilé militaire : lanciers, porte-drapeaux, bâtonniers apparaît alors, suivi bientôt par les personnages carnavalesques. Vêtu de noir, l'abbé de la ville ; vêtu de blanc, le roi de la basoche ; le lieutenant du prince d’Amont. Le clergé fermait le cortège, accompagné de la Mort ; elle brandissait sa faux et hurlait des menaces.

Les chevaux fous sont, dans ce cortège, l’élément le plus archaïque. Ils sont aussi le plus vivace. Ils paraissaient jusqu'en mille neuf cent trente six. Beaucoup d'Aixois en ont gardé le souvenir


Aix a eu son dragon

Il fut tué par Saint-Jacques. Pour commémorer l'événement, on promenait, lors des Rogations, un monstre en carton

Une maison terrifiante

C’est hôtel d'Albertas, au dix de la rue Espariat. Le propriétaire fut assassiné en mille sept cent quatre vingt dix. On retrouva le meurtrier, un jeune homme du nom d'Anicet Martel. Il fut roué vif, le deux août. On le déterra presque aussitôt qu'il fut inhumé. Une loge maçonnique le fit momifier et monter sur ressorts. Sur les os, les chairs adhéraient encore ; les bras et les jambes portaient encore les marques du supplice ; la face était tordue de douleur. Il tendait un encrier aux récipiendaires.

Environs


Le berceau de la ville

Au nord d'Aix ( par la route de Puyricard, à trois kilomètres à droite ) s'élève la colline d'Entremont, l'un des plus étonnants sanctuaires gaulois. Là était la première ville d'Aix, capitale politique et religieuse de la confédération des Salyens.
Elle fut détruite en cent vint cinq après Jésus-Christ par le consul Sextius qui fonda l'actuelle cité. Il en reste des remparts, des traces de rues et une très belle collection de statues.

Le duc d’Epernon voulut, en mille cinq cent quatre vingt douze, y construire une troisième ville d’Aix. Les Aixois prirent les armes et le chassèrent. Aujourd'hui la citadelle salyenne est devenue un camp d'aviation.


Des crânes conservés dans un souterrain

Les fouilles du sanctuaire d'Entremont ont révélé une salle de cinq mètres de large qui s'enfonce sous la terre. On n'y a découvert une statuaire funéraire abondante, qui atteste un rite singulier, celui des têtes coupées. Les personnages sont assis, dans l’attitude du lotus bouddhique, la main gauche posée sur une tête de mort, ce qui semble représenter un geste rituel en rapport avec une croyance à la survie. Sur un linteau monolithique figurent des têtes coupées, stylisées, les yeux clos ; la bouche n'est pas indiquée, ce qui empêche l’âme du mort de s'échapper. Enfin, sur des piliers, dans des alvéoles, sont rangés des crânes humains.

Les Gaulois décapitaient leurs ennemis. Les crânes des chefs étaient embaumés avec de l'huile de cèdre. Le Luberon, riche en cèdres, n'est pas loin.

Une tradition voudrait que sous les ruines d'Entremont, fut caché un trésor, le buste en or massif, du bon roi René de Provence
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Message  tatiana Mer 3 Juin - 10:41

L' Orne

Aigle

Les moutons passés a l’eau et au feu.

L’usage était courant jusqu'au siècle dernier : à la Saint-Jean, les bergers couronnaient de fleurs leurs moutons et les conduisaient devant les portes des propriétaires. En récompense, ceux-ci leur jetaient de l'argent. Puis chaque bête était trempée dans l'eau est passée à travers la fumée des feux de la Saint-Jean, ce que devais, croyait-on, la préserver de la gale.


Bagnoles-De L’Orne

La tour bienfaisante

Une tour, dite tour de Bonvouloir, fut édifiée par messire Essirard en forme de phallus. Après une vie désordonnée ,il avait décidé de se marier. Eprouvant quelques difficultés à s’assurer d’une postérité, il décida d’aller plonger dans la fontaine de Bagnoles, qui avait ravivé la vertu du cheval Rapide du seigneur de Tessé. Il eu une nombreuse descendance.
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Message  muche Mar 25 Aoû - 17:49

il y a des drôles de choses....j ai pas tout lu, j y reviendrais study
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