Accès public aux documents au Canada

Le Canada a autorisé l’accès public aux documents fédéraux concernant les ovnis

03-03-2009 | 00h00 /// Traduction: Dharma

Le gouvernement canadien a autorisé l’accès libre et l’ouverture publique de milliers de documents du gouvernement fédéral concernant les OVNIS. Un total de 9500 documents digitalisés couvrant les années 1947 aux début 1980 est disponible dans la bibliothèque et archives du Site officiel canadien. Intitulé “Canada's UFOs: The Search for the Unknown” OVNI du Canada: la recherche pour l’inconnu. Les dossiers incluent la correspondance, les rapports, les mémos et procédures, certains traitent spécialement des OVNI. Les dossiers viennent du département de la défense nationale canadienne, du département du transport, du conseil national de recherche et la police montée royale canadienne.

Le Canada rend public ses dossier non classés (X-Files) peu de temps après l’ouverture, fin janvier, des dossiers OVNI du Danemark.
L’Angleterre continue à « relâcher » des milliers de dossier OVNI par un programme graduel d’ouverture qui a commencé en mai 2007 à travers ses archives nationales avec le plus récent commençant en octobre 2008.
L’agence française de l’espace a annoncé le 22 mars 2007, qu’elle rendait public les dossiers secrets d’OVNI sur son site gouvernemental.

La différence importante entre l’ouverture canadienne des dossiers OVNI et les autres pays est leur incorporation des analyses départementales, plus que de simples rapports d’aperçu d’OVNI.
D’après Victoria Viggiani de « Exopolitics Toronto », qui a géré le site canadien gouvernemental des Ovni dès son commencement : « le dossier canadien ne sont pas simplement une liste des rapports d’aperçu d’Ovni, ils décrivent les actions, les rencontres et les mémorandum interdépartementaux généré par la filière officielle Canadienne qui tente de faire prendre un sens à la considérable attaque de rapport ovni autant qu’ils se réfèrent aux problème américains quant à se tenir au courant des ‘aperçus’ ovni.

Par exemple, un mémo de septembre 1967, intitulé "Unidentified Flying Objects (UFOs) - Investigations" (Objets volants non identifiés- enquêtes) a été ouvert, il faisait état d’un nombre de rapports d’enquête qui suggéraient la possibilité de démonstration d’ovni comme information scientifique unique et de technologie avancée qui pourrait vraisemblablement contribuer à la science ou à la recherche technique.

Un autre mémo détaille un aperçu d’ovni à Shag Harbor, révélé par la police montée canadienne et six témoins civils dans la nuit du 4 octobre 1967. Le mémo décrit comment selon la déposition des témoins un objet de 60 pieds (m ?) qui allait dans un mouvement lent, allant vers l’est, avant de descendre rapidement dans l’eau faisant un jaillissement lumineux à son impact. Le rapport continu : « une seule lumière blanche est apparu à la surface de l’eau pendant un instant. Le RMCP, (police montée) avec l’aide des pêcheurs locaux et leurs bateaux tentèrent de rechercher l’objet avant qu’il ne coule complètement.

Sans doute les documents les plus significatifs sont ceux de l’association entre 1950-1952 des enquêtes classées et des analyses d’ovni du département des transports dirigé par Wilbert Smith, un « senior » radio ingénieur. Dans son rapport de projet sur l’aimantation, Smith commentait intensément sur les performances des vols des ovnis qui étaient loin en avance par rapport à tout ce qui est connu jusqu’à maintenant :
… Il est difficile de concilier ces performances avec les capacités de notre technologie, et encore moins la technologie de certaines nations terrestres qui sont plus avancées de ce qui est connu généralement, nous sommes contraints de conclure que les véhicules sont probablement extraterrestres en dépit de nos tendances à penser le contraire.
Tandis que toutes informations valables dans les archives canadiennes sont complètement nouvelles pour les chercheurs Ovni, elles sont produites de manière compréhensive pour le public et les médias qui examineront les dossiers non classés ovni du gouvernement canadien.

ben à force;peut-être qu'un jour;on saura!